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 William Ackers Leaves

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AuteurMessage
William A. Leaves
Admin
William A. Leaves


Nombre de messages : 112
Age : 33
Date d'inscription : 07/02/2009

ME,MYSELF,& I
Je suis :: elemantaux
Mon Element :: Terre
Mes Relations:

William Ackers Leaves Empty
MessageSujet: William Ackers Leaves   William Ackers Leaves Icon_minitimeSam 7 Fév - 21:44



PARTIE DJ
TON PERSONNAGE



I - F I C H E D' I D E N T I T E


Nom de Famille :
Leaves
Prénom(s) :
William Ackers
Âge :
18 ans
Date de naissance :
5 Juillet 1990
Lieu de naissance :
Los Angeles, USA
Origine
Anglais, mes parents ont déménagé avant que je naisse

Élément :
Terre

Pouvoirs
Je peux commander aux racines des arbres. Donc je peux facilement immobiliser quelqu'un dans des immenses racines et les étouffer.

Niveau :
Niveau 5



I - D E T A I L S[/center]


Histoire :

- « Je suis désolé… »

Trois mots. Trois mots seulement. Mais dans la bouche de cet homme que William pensait être son véritable père, dans la bouche de cet homme qui l’avait élevé avec tellement d’amour, ces trois mots étaient insupportables. Le jeune garçon hurla, il hurla de rage et de colère. Son père essaya de le prendre dans ses bras, mais William le repoussa. Non il ne pouvait pas l’accepter, il ne pouvait pas pleurer dans les bras de son père, la mort de sa mère était tout simplement impossible. Impossible ! La rage s’empara de son cœur et le brisa en deux. Le jeune garçon se tourna vers le mur et enfonça son poing dedans. Le contreplaqué s’enfonça sous la force du jeune garçon.

Une heure plus tard, William regardait son bras bandés. Oui il avait été idiot de frapper le mur. Mais c’était ça ou il frappait quelqu’un. La mort de sa mère n’avait pas été brutale. Ils s’en doutaient tous. Même la petite Undie, sa petite sœur de cinq ans s’en doutait. Cela fait des années que sa mère n’était plus elle-même. L’arrivée de Undie avait provoqué les symptômes mais c’était enfouis là depuis plus longtemps. William ne savait pas pourquoi sa mère devenait un peu plus folle chaque jour, ni pourquoi elle faisait de telle crise nerveuse, il n’en avait aucune idée, mais il savait une chose, sa mère n’était pas folle. Il y avait quelque chose qui la rongeait. Son père avait accepté la réponse des médecins, mais pas lui.

Montant dans sa chambre, William s’enferma. Il avait besoin d’être seul. Il avait dix ans, et savait ce que signifiait la mort de sa mère. Pire, il savait qu’il n’avait rien fait pour l’en empêcher. Il savait qu’elle n’allait pas bien, mais ne comprenait pas ce qui lui arrivait. Son besoin de tout comprendre, que tout soit absolument clair se heurtait à l’état de sa mère qui n’avait absolument aucune raison apparente. Mais il y en avait une, seulement elle échappait au jeune garçon. La colère le traversait, le refus obscurcissait son jugement, et il posa son regard sur son bureau pour se calmer.


Caractère :
Méfiez-vous de cette beauté qui pourrait faire pleurer le diable, car je n’ai rien d’un ange. A proprement parler je suis plutôt un démon. Ma nature d'élémentaux joue sans doute dans la balançoire, mais ne croyez pas que je n’ai pas choisit de faire ce que je fais chaque nuit, ne faites surtout par l’erreur de songer durant une seconde que je suis esclave de ma nature et que je lui obéis aveuglément. Non seulement j’ai parfaitement conscience du fait que je suis un élémental, mais je connais également très bien ma nature démoniaque, je sens ce monstre en moi et je le laisse sortir lorsque cela me plait, parce que vous savez quoi ? Je suis le meilleur elementaux de terre qui soit ? Oui, le meilleur. Cela va sans doute vous sembler vaniteux surtout dans la bouche d’un élémentaux dont la légende remonte à si peu d’année, mais comme on dit, la valeur ne se mesure pas aux nombres des années et j’en suis si je puis dire la preuve vivante. Dès les premières minutes de mon engagement j’ai su qui j’étais, j’ai su que le sang de ceux qui défendent X appellerait la mort et que je m’en réjouirais, comme je savait que je serait incapable de combattre ma nature, j’ai décidé d’être le meilleur "monstre" qui soit.

Déjà jeune, j’étais insolent, véritablement insolent, au point de croire que j’allais dompter le monde, insolent et téméraire. D’une certaine manière je le suis resté. Mais je ne suis plus aussi imbécile que je pouvais l’être dans ma jeunesse. Je ne crois plus pouvoir dompter le monde, je ne crois plus pouvoir changer ceux qui m’entourent et encore moins moi-même. Une éternité n’y suffirais pas. Vous me croyez désabusé ? Cela n’est pas le cas. Je sais ce que je vaux, je sais ce que je peux faire et j’adore le faire. Chaque nuit je prouve au diable qu’il fait bien de m’attendre, chaque nuit je rend jaloux les étoiles dans le ciel, chaque nuit je brille comme un astre. Et le levé du soleil ne m’atteint pas. Insolent, orgueilleux, vaniteux, oui, je suis un peu de tout cela. Et c’est ce qui me rend réellement insupportable.

Homme solitaire, je n’aime guère qu’on se prenne au jeu du père avec moi, en fait je déteste qu’on me dise quoi faire et encore plus quoi penser. Esprit libre ? C’est un peu cela, mais pas seulement. Cependant, comme tout homme solitaire, je n’ai pas choisit ma solitude. Si je déteste avoir un supérieur, j’adore la compagnie, surtout des dames que j’ai choisit. La solitude est un poids pour un humain, car il faut bien qu’il conçoivent chaque nuit comme une série d’amusement, des plus sadiques, des plus sanglants, mais seul. Personne avec qui partager ses joies sadiques, personne avec qui jouer à ces jeux, personne contre qui se lover lorsque le soleil se lève. Pourtant, il n’en a pas toujours été ainsi. Lorsque j’étais jeune j’avais un amour, et lorsque j’ai commencé mon "pouvoirs" je n’étais pas alors un être solitaire. Cela étant dit, je ne supporterais pas la vie dans un clan. Ce que j’aime c’est avoir un compagnon, mais plus serait insupportable. Je ne suis pas vraiment sociable, et étant sincèrement insupportable avec les personnes que je ne chéri pas de tout mon cœur, cela est impossible.


Farouche et téméraire, c’est ce que je peux paraître au premier abord. Il est vrai que je suis sans cesse en action, et que je ne m’accorde jamais tellement de temps pour la réflexion. Je suis bien incapable de me morfondre en attendant que les choses changent d’elles-mêmes. En fait, l’inaction a tendance à me rendre fou. J’ai besoin de prendre rapidement des décisions même les plus importantes comme si ma vie en dépendait. Mon impatience pourrait passer pour de l’ignorance ou un manque de réflexion, même si parfois c’est le cas, il s’avère pourtant que je réfléchis et même un peu trop à mon goût. Depuis que cet esprit démoniaque coule dans mon corps, il me semble que mon esprit est bien plus rapide, que réfléchir ne me prend qu’une seconde, et cela s’en ressent dans mes actions. Mon esprit aiguisé comme une lame de rasoir me permet d’être quelqu’un de fonceur, mais si je possède un si grand sang froid, et une aussi grande capacité à être téméraire coûte que coûte, c’est aussi parce que je suis un prince insolent, orgueilleux, qui s’imagine toujours que le monde va céder devant sa volonté.

Je suis quelqu’un qui n’aime guère le bonheur, ou du moins, c’est la sensation que j’ai, devenant de plus en plus forte aux bout de près de deux décennies d'existence. Je sais que le bonheur est un sentiment fragile qui lorsqu’il vous lâche devient une blessure ignoble et douloureuse en votre cœur. Pour avoir déjà aimé à en avoir mal, je le sais. J’ai cessé d’espérer que l’amour me délivre de mes souffrances, parce que je sais que je n’en souffrirais que plus. Alors, j’essaie d’oublier ce mot : ‘bonheur’ dans l’alcool,dans la drogue, dans tout ce qui peut me le faire oublier.

Comment me définir au mieux ? Même si je cherchais un seul mot, je n’y arriverai pas tant je suis un homme complexe. Présent, passé et futur sont emmêlés si étroitement qu’on a parfois du mal à s’y retrouver. Même quelqu’un qui est proche de moi ne peut jurer me connaître par cœur, tant le mien est embrumé.Un désir de vengeance absolue s’est enracinée en moi dès l’enfance. J'ai appris à détester ces gens qui ont contaminé l'humanité. Depuis le commencement, la haine et le mépris que j'éprouve envers ces gens, et plus précisément envers mon paternel, n’a cessé de croître. Ma vie a pris un réel tournant à la mort de sa mère.Même si la plupart du temps j'affiche un air extrêmement détendu, calme et même carrément impassible, cela ne m'empêche pas de bouillonner de l’intérieur. Seulement, lorsque je déborde, tellement je suis énervé, cette rage doit sortir et, bien souvent, c’est à coup de poings que cela se règle…

Ma mère m'a inculqué les bonnes manières et un style très raffiné dès le début, également. Aussi je me montre toujours très poli et courtois envers les demoiselles, teinté toutefois d’une note d’indifférence en fonction de mon humeur ou de la situation. Ce qui en agace et parfois même, déstabilise beaucoup. Je suis quelqu’un d’incroyable buté et loyal.Une fois que je décide quelque chose, j'y vais à fond et ne relâche jamais avant d’être certain que ma tâche soit accomplie.Intransigeant et méticuleux, il est rare que je laisse des détails au hasard. Fin observateur et manipulateur, je suis doué pour savoir ce que les gens pense et l’art de la tromperie ne m'est pas étrangère. Je suis rusé comme un renard, fourbe comme un serpent. Je continue à entretenir le mystère autour de moi.

Vous ai-je déjà dit que j'étais méticuleux ? je ne suis pas vraiment du type à foncer tête baisser mais à réfléchir avant d’agir. Je pèse souvent le pour et le contre, essaie de détruire les arguments par la réflexion. Grâce à cette capacité à réfléchir au lieu d’agir dans le vide, je possède un grand sans froid, mais surtout une grande intelligence que j'ai développé et nourrit. Depuis que je suis enfant je passe mon temps dans les bibliothèques, c’est un lieu idéal pour mûrir une pensée, une idée. Ma manière de réfléchir, non pas en songeant seulement aux implication de mes actes à court terme, mais de tenir compte de chaque élément et d’être capable d’anticiper les actions des autres me permet d’être largement au-dessus des autres.

Et c’est ce que je ressent la plupart du temps. Depuis que je suis enfant j'ai la sensation que personne ne m'arrive à la cheville, sensation qui s’est renforcée lorsque j'ai su que j'étais un élémentaux. Je sait ce que je vaut, je sait que je suis plus intelligent que les autres, que je connaît assez de choses pour me sortir de n’importe quelle situation, mais pas seulement. Je n’use pas seulement mon intelligence. Sportif, j'ai une façon de penser très saine pour mon corps et pour mon esprit. Doué dans tout ce que j'entreprends, je pense que rien ne peut se refuser à moi, et que je suis capable de tout. Plusieurs choses contradictoires me qualifient, je suis le feu et la glace.


Physique :
Je possède un visage d’ange, un visage possédant des traits encore très juvéniles pour mon âge. Ma beauté a quelque chose de fragile et à la fois de nostalgique, comme si j'avais déjà trop vécu, ou qu'il ne fallait pas que j'en vive plus. Mon regard se perdant dans le vague pourrait rendre n’importe qui totalement accro à moi, du moins, n’importe quelle fille. J'ai quelque chose dans mon regard, oh, ça n’est pas un jeu de séduction, un tour machiavélique que j'aurais inventé pour séduire, oh non. J'ai aussi quelque chose de fragile mais pas dans mes yeux. Dans mes yeux il y a de la dureté, du mépris, de la colère et de la haine, mais aussi comme si j'étais perdu au milieu du néant. Malgré mon âge on dirait bien souvent que je sort du lycée. Mes manières sont encore empreintes à des gestes de l’enfance, et mes mouvements d’humeur, lorsque j'en ai mais je parvient à les maîtrisés, ont tout d’une crise d’un enfant, mais avec les conséquences d’un homme adulte doté de "pouvoirs".
Je déteste être mal vêtu, tout comme je déteste la pauvreté, du moins être pauvre, les autres je m'en moque. Aussi vous ne me verrez jamais sans un costume italien ou un vêtement ultra chic décontracté.

Mon visage blafard et marmoréen sur lequel un fin sourire narquois s’était dessiné. Les cernes trahissait ma nuit blanche Le regard d’un azur profond où sentiments insaisissables étaient ainsi exprimés. La beauté n’était pas le mot par lequel on pouvait me qualifier au mieux. Je n’étais pas désagréable à regarder, mais n’avait rien qu’un apollon puisse envier. Non, j'avais ce truc infime dans le regard, cette étincelle, ses gestes précis, ma voix suave et séductrice qui jouaient en ma faveur. J'avais un certain charme, qui plaisait ou pas.Des lèvres rosées, image même de l’adolescence, par lesquelles des mots autant savoureux que douloureux pouvaient s’échapper. J'étais de grande taille, sans pour autant être imposant. Mon poids s’accordait avec le reste sans aucune rigueur pour la conserver ainsi. Mon costume ne le laissait voir, mais mon corps était meurtris de cicatrices et autres blessures diverses qui me rappelle des évènements tantôt dramatiques, tantôt insolites qui se sont déroulé dans ma vie déjà tant mouvementée.Je passait une main dans mes cheveux châtains foncés.Des mèches rebelles s’échappèrent, lui donnant un air « décoiffé mais pas trop ». L’apparence, c’était tout...je fascinais, plusieurs personne essayaient de copier mon style, moi je ne trouvais pas que j'en avais un, rien n'était calculé. Je sortais une cigarette mon onzième doigt comme j'aime le dire.

Je mesure un mètre quatre-vingts, taille qui sort de l'ordinaire pour les hommes.Mon nez est plutôt court et fin; la bouche bien dessinée, mais un peu grande pour mon visage. Elle peut prendre un pli fort méchant ou extrêmement généreux, en tout cas toujours sensuel. Cela dit, mes émotions et mes attitudes se reflètent dans mon expression tout entière. J'ai un visage constamment mobile. Ma peau excessivement blanche et réflective, qu'il faut poudrer pour son exposition à tous les objectifs, quels qu'ils soient.






PARTIE HJ
VOUS


De quelle manière avez-vous connu Element ?
Sur le site de Box&Shock
Multinick à déclarer ? :
Non
Fréquence de passage :
Tous lesjours
Ton avis sur le forum :
J'aime beaucoup le concept et heureux de participer à sa construction Smile
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William Ackers Leaves
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